Alors que de plus en plus d’affaires de police n’arrivent pas toujours à leurs fins, on constate que celle-ci pourrait bien tout changer pour les prochaines à venir. Chaque année, des milliers de personnes n’arrivent malheureusement pas à aller au bout de certaines affaires, et cela peut mettre en péril la sécurité des citoyens…
Des avancées grâce aux animaux !
Ce n’est clairement pas la première fois que l’on peut constater de grandes avancées scientifiques et policières grâce à nos amis les animaux ! En revanche, ici, personne ne pensait que cela allait pouvoir être le cas avec les chats… En effet, il faut bien l’avouer, ce sont souvent les chiens qui sont appréciés pour leur aide à la police.
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Les chats ont, quant à eux, une très mauvaise image de la part de la plupart des policiers, et pour cause : ils laissent souvent beaucoup de poils derrière eux ! D’ailleurs, ce n’est sans doute pas un hasard si certains sont allergiques aux chats et vivent un vrai calvaire, malgré le fait qu’un vaccin serait à l’étude.
Ceci étant dit, en ce qui concerne cette sombre affaire, ce serait bien un chat en particulier qui pourrait bien faire progresser la science. En tout cas, cela aurait permis au minimum de régler une affaire policière. Les chercheurs de l’université de Leicester ne s’attendaient sûrement pas à cela…
Dans une récente affaire de meurtre, nous avions appliqué la technique habituelle. Cependant, nous avons eu cette chance que le chat du suspect présentait une variante mitochondriale rare !
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Un rebondissement hors du commun dans cette affaire policière !
Si on peut vraiment regretter le fait que nos animaux ne nous facilitent pas toujours la vie, cela pourra au moins être le cas avec cette sombre affaire qui a déjà fait beaucoup de bruit dans tout le Royaume-Uni. En effet, alors que 26% de la population dispose d’un chat à la maison, cela n’est sans doute pas un hasard si cette avancée à avoir été constatée…
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Selon le sérieux magazine Forensic Science International : Genetics, les avancées technologiques nous permettent notamment de dénicher le vrai du faux dans de nombreuses affaires. En effet, ces animaux n’ayant, selon la doctorante Emily Patterson, pas de racine ou de bulbe, ils n’ont finalement que très peu d’ADN qui est exploitable…
Une preuve considérée comme légale !
Pour aller plus loin, selon le journal, un criminel aurait donc été attrapé grâce à ce stratagème, ce dont on ne peut que se féliciter ! En effet, son ADN s’est tout simplement retrouvé sur les poils du chat de la maison : une aubaine pour les autorités qui ne s’attendaient pas à faire une telle découverte…
Dans les affaires pénales où il n’y a pas d’ADN humain disponible à tester, les poils d’animaux deviennent une source précieuse de preuves reliant le crime et le criminel, et notre méthode la rend beaucoup plus puissante !
En revanche, à ce stade, il n’a pas encore été prévu de faire des tests similaires avec d’autres animaux, même si on se doute bien que cela pourrait aussi très bien fonctionner avec les chiens : de quoi faire plaisir à tous les propriétaires canins qui sont inquiets…